Arrivés à Pointe-à-Pitre par vol direct JetBlue depuis New York (4 heures), nous récupérons notre voiture de location et rejoignons Deshaies sur Basse Terre.

Le bungalow est tout neuf.

Un peu de chlorophylle après le bain de gratte-ciels.

Notre hôte nous a préparé une bouteille de planteur pour nous mettre en température et faire une bonne sieste sous moustiquaire.

La plage de Grande Anse à Deshaies, toute proche de notre Airbnb.

Quelques accras plus tard, avec une pina colada les pieds dans le sable.

Pour savourer notre premier coucher de soleil à Deshaies avec une pensée pour Thibault et Alban qui fêtent leurs 22 et 3 ans.

A suivre...

Visite du jardin botanique de Deshaies, ancienne propriété de Coluche.

Coluche dans les rues de Deshaies en 1978 (ça n’a pas tellement changé depuis). Il avait acheté 7 hectares de jungle dans ce coin dont il était tombé amoureux et où il recevait ses potes Patrick Dewaere et Renaud. Se sentant responsable du suicide du premier en 1982, il cèdera finalement sa propriété à un ami pépiniériste qui en a fait le jardin botanique.

Les carpes Koï nous accueillent à l’entrée du jardin.

La villa du jardin pour 8 \240personnes est à louer pour de prochaines vacances.

Angry birds.

Magie de la rose porcelaine.

Ne comptez pas sur nous pour vous donner le nom de toutes les plantes ; nous ne sommes pas Jardiland !

Mais certaines feuilles forcent le respect.

Comme le dit la chanson : « I’ve got no roots », je n’ai pas de racines.

Retour à Deshaies dont nous ne nous lassons pas d’admirer la baie.

A suivre...

Plage de la Perle à Deshaies & visite de la plantation de café Vanibel.

Nous découvrons une nouvelle plage, la plage de la Perle, un peu plus loin que celle de Grande Anse. C’est notre nouvelle plage préférée.

Les cocotiers y sont plus accueillants.

Comme la mer n’invite pas à la baignade, le temps étant encore trop changeant, la chasse aux noix de coco est ouverte.

Nous quittons la plage pour nous rendre à Vieux Habitants visiter une plantation familiale de café, la plantation Vanibel. Joël Nelson, l’un des propriétaires qui a décidé de réintroduire le café sur la côte sous le vent, se révèle un conteur incroyable qui nous fait découvrir non seulement le café « bonifieur »...

... mais également le cacao dans lequel il fonde de grands espoirs depuis le récent engouement des Chinois...

... et le vanilier accroché à son arbre, qui demande beaucoup de travail...

... ou encore le bananier qui ne donne qu’un régime avant de mourir.

Vanibel a réhabilité l’ancien moulin de la propriété pour concasser les baies de café et en extraire les grains.

Les grains au séchage avant toréfaction.

Petite note transport : nous avons loué à Pointe-à-Pitre une Peugeot 108, voiture franche et honnête pour un tarif avantageux. Nous avions oublié la géographie pentue de Basse Terre où la voiture peine à gravir les côtes et nous oblige à arbitrer entre climatisation et montée. L’atteinte de la plantation Vanibel a conduit Hubert dans quelques marches arrières audacieuses quand la voiture criait grâce.

A suivre...

Visite du parc des Mamelles à Bouillante (route de la traversée).

Nous ne sommes pas des afficionados des zoos, mais le temps capricieux nous éloigne des plages, et nous n’avons pas tous les jours l’occasion de voir un panda roux dont le parc des Mamelles tente la reproduction.

En plus des animaux, le parc possède tout un réseau de ponts suspendus qui permettent de se promener dans la jungle ; trop bien !

Chaussures Mephisto le retour ! Indispensables pour franchir gracieusement le pont de singe.

Toi Tarzan.

Seul l’iguane reste immobile.

Nous quittons le parc alors que les nuages se dissipent...

... pour un déjeuner de plage.

Petite note météo : le climat de la Guadeloupe est tropical, marqué par deux "saisons" distinctes : une saison sèche, globalement de décembre à avril, et une saison plus propice aux intempéries, entre juillet et novembre. Février en plein coeur de la saison sèche aurait dû nous assurer le soleil sur les plages. Hélas, nous en sommes loin et passons notre temps à jongler entre averses et éclaircies.

A suivre...

Les Saintes (Terre-de-Haut)... en bateau, en vélo et 10 km à pied.

La baie des Saintes et son archipel de 9 îles aux flancs escarpés.

Le vélo à assistance électrique permet presque de grimper aux arbres...

... mais il nous en « coûtera » presque 1 heure de marche sous une bonne canicule pour rallier le mont Chameau... dont la bosse culmine à 309 mètres.

Le Chameau vu d’en bas.

Défilé très tendance dans les rues, en pleine période de carnaval.

Notre Dame de la Miséricorde.

Pause déjeuner au très évocateur « 1 Ti Bo Dou Dou ».

Isabelle’s shadow.

Plage de Pompierre et première baignade dans une eau à 28 degrés.

L’autre côté de la baie, vue à partir des hauteurs du fort Napoléon.

Il faut déjà rentrer...

... tout en profitant du coucher de soleil en débarquant au port de Trois Rivières.

A suivre...

Baptême et confirmation de plongée au club Piton le jour de la Sainte Isabelle.

Le bateau de plongée est au mouillage au pied du morne de la Pointe aux Fous pour une séquence de briefing et de rappels.

Mise à l’eau « saut droit », comme à l’école.

Même pas la marque du masque après 20 minutes d’évolution jusqu’à 6 mètres.

Narcose (ou ivresse des profondeurs) due à la rencontre improbable de deux dauphins à 16 mètres (une première pour Hubert) et ballet tourbillonnant inoubliable avec ces amis delphinidés... ou mammifères odontocètes pour les puristes.

Un diplôme bien mérité et le bonheur d’avoir partagé cette immersion ensemble.

Un modeste bateau accompagnait notre plongée...

Déjeuner les pieds au-dessus de l’eau au restaurant « L’Amer » à Deshaies.

Pour laver sa poëlle, autant se baigner directement avec...

Dîner raffiné au Poisson Rouge, au coeur du Tendacayou Ecolodge sur les hauteurs dominant la baie de Deshaies.

Cadre enchanteur et table (numéro 3...) sous la barque... solidement amarrée.

Sur le chemin du retour, un âne explique le principe du double embrayage à Hubert.

A suivre...

Grand soleil, journée « bulle » plage de la Perle à Deshaies.

Après la bonne séquence des bulles sous l’eau d’hier, première journée de farniente sur la côte Caraïbes.

Cocotiers, palmiers, palétuviers font bon ménage dans le sable.

Pause déjeuner « obligatoire » pour éviter tout risque d’hypoglycémie et tandem « punch coco-accras » incontournable...

... en mode double alimentation pour une efficacité accrue... et non accra... ah, ah, ah !

180 degrés et le calme, à l’exception du volcan de la Soufrière - sur l’île britannique de Montserrat - qui est en activité permanente et que l’on devine au fond... à près de 90 km.

Elle n’est pas belle la vie ?

Plutôt l’air reposés et détendus, non ?

Coucher de soleil exceptionnel.

La magie opère...

... jugez plutôt !

A suivre...

Plage de Grande Anse à Deshaies.

Le bruit des rouleaux ajoute à la quiétude de cette plage de près de 2 km.

Parasol naturel.

Panoramique balnéaire.

Et dernier clin d’œil à cet univers très impitoyable.

Avant de rendre définitivement les clés de notre fidèle destrier...

... et de se refueler au sol pour un vol transatlantique de 6756,99 km (vol d’oiseau) ou 7088 km (en Airbus 330-200).

Posés comme une fleur le 25 février matin avec une petite demi-heure d’avance, ce qui prouve que les vents sont parfois favorables.