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Départ pour la Sicile. Nous prenons notre avion à Roissy pour Catane via une escale à Milan de 7h30.

Tout le monde porte un masque dans l’avion et ainsi qu’aux aéroports.

C’est long 7h30 d’attente à Milan. Nous en profitons pour nous faire un restaurant asiatique que nous avions repéré lors de notre dernière venue à Milan.

Arrivés le soir à 22h30 à Catane, nous récupérons nos bagages et nous avons hâte de récupérer notre voiture car il faut encore 45min pour aller à Syracuse.

Et là, pas de chance, l’agence de location est fermée. Après plusieurs tentatives infructueuses pour les joindre, nous décidons de louer pour 24h une voiture chez Europcar (ils allait fermer, il est 23h). On verra demain si on peut récupérer celle que nous avions réservée.

Ça commence bien avec un peu de panique à l’arrivée. Nous traçons vers Syracuse. On arrive à presque 1h du matin au logement. C’est tout à fait correct. On s’installe rapidement pour bien dormir.

Le matin, levés tranquilles vers 9h. On arrive à joindre le loueur de voiture. Notre réservation est annulée car nous avions 12h pour recuperer la voiture la veille (or l’horaire initial était 10h00 avant nos modifications de vols). On abandonne et on regarde pour une nouvelle location de voiture. On passe de 342 € pour les 2 semaines à 760€ 😭. J’irai la chercher dans l’après midi.

On décide d’aller visiter le matin Ortigia. Nous passons par le marché. Tout nous donne envie (poissons, fruits et légumes, épices, ...). Nous faisons ensuite le tour de ce qui fait la vieille ville de Syracuse. L’architecture est très belle et le bord de l’eau est superbe.

Il fait déjà très chaud. Nous continuons notre tour en passant par Aretusa et la place du Duomo. Magnifiques.

Nous décidons de rentrer vers midi, en faisant quelques courses au marché : tomates, pastèque, olives, amandes, pistaches, gambas,...

Après avoir mangés, une petite sieste, puis me voilà reparti vers l’aéroport pour rendre la voiture Europcar et récupérer la nouvelle voiture réservée le matin même. Et là, rebelotte. Le loueur ne veut pas prendre ma carte car c’est une carte de débit. Je n’en reviens pas, la poisse. Obligés d’avance avec ma carte pro.

Allez, je veux vite rentrer, il est 16h45. Je pars de l’aéroport avec notre Opel Corsa des vacances.

De retour à l’appartement, je récupère tout le monde et nous filons manger une glace avant d’aller à la plage vers le phare : Spaggia del Minareto. L’eau est claire et delicieuse. Nous savourons ce moment.

Puis nous filons nous balader vers des plages à côté : Punta Della Molla pour un coucher de soleil magnifique.

On rentre manger à l’appartement et dodo.

Un vrai killer de Paninis

On se lève encore trop tard il fait déjà très chaud.

Nous partons visiter le monument dédiée à la madonne Santa Lucia delle Lacrime. Un cône tout en béton en honneur d’une statue qui a versé des larmes en 1953.

Puis nous filons avec nos sandwichs italiens, pizzas en guise de casse croûte pour passer la journée à la Plage de Calamosche.

Très joli coin mais beaucoup de monde (on est dimanche). Beaucoup de parasols ⛱ sur la plage. Le soleil cogne, le sable est brûlant. Lucas reste toute la journée dans l’eau et profite bien avec Matisse des masques de plongée.

On part vers 17h30 et après une bonne douche, on file en ville pour se balader sur l’île d’Ortigia et voir l’ambiance du soir.

On dînera chez Mokrito (bien garni) et on se délecte d’une glace à la pistache chez Gusto, un glacier dans une ruelle qui nous rappelle Gusto 17 à Milan. La glace à la pistache est presque aussi bonne.

Nous voici partis assez tôt pour la Réserva naturale Cavagrande de Cassabile. De belles cascades d’eau. La difficulté est son accessibilité. Une fois garés, sur un parking payant (3€) la journée, nous descendons pour rejoindre la cascade et ses bassins d’eaux naturelles. 45 minutes de descente sous une chaleur accablante. Nous nous trouvons un coin tranquille à l’ombre, puis nous savourons cette baignade bien fraîche après notre effort. Quel pied.

Nous ne resterons pas longtemps tranquilles. Entre les jeunes italiens en groupe et leur sono mobile (mauvaise musique en plus), nous voilà assaillis pas des latins à l’accent espagnol (Espagne, Amériques????) au nombre de 20 personnes. Les amis, la famille et l’alcool, ça devient bruyant. On décide de bouger.

Nous resterons toute la journée jusque 16h30.

Puis nous prenons notre courage à 2 mains pour remonter. Les enfants sont pressés de remonter et de retrouver de l’Internet. Ils nous larguent. On finira difficilement cette terrible montée. Réconfort avec un granité, cocas et un espresso.

On file sur le retour pour Notos, avec son vieux centre-ville absolument magnifique en architecture.

On rentre, on se douche et on file acheter des pizza chez ceux qui ont été \240champions du monde : Pizzoleria Tica.

On plie nos bagages et Départ pour \240Agrigente. 2h40 de route pour arriver à notre nouveau logement : la Villa Elisa.

On est bien installé, même s’il manque quelques accessoires. Le lit de la chambre grince, on va essayé d’y remédier pour passer une bonne nuit.

On se prépare un bon plat de pâtes et on file à la plage et surtout pour admirer la Scala dei Tirchi, de belles falaises calcaires érodées qui surplombent la mer.

On reste se baigner avant de rentrer tout hesitant sur notre programme du soir.

Finalement ce sera tranquille à la villa.

Baby-foot et billard, apéros et repas.

On arrange le lit et dodo.

Petit déjeuner tranquille à la villa. Puis départ pour la Réserve Naturelle de Torre Salsa à 40 min de trajet. On y découvre une belle et large plage avec quelques falaises de calcaire. On y reste une grande partie de la matinee. A 13h il commence à faire trop chaud. On plie bagages et on rentre à la villa.

On se pose tranquille, on se fait des pastas et une bonne salade de tomates fraîches, olives, poivrons. Délicieux. \240

On profite également de la terrasse, du baby-foot et du billard.

Puis on part pour notre programme de fin d’après midi : la visite du centre historique d’Agrigente et la vallée des temples.

En effet, Agrigente est célèbre pour ses temples grec qui ont pour certains bien résistés dans le temps. Le plus ancien date de 5 siècles avant JC. On en profite à partir de 20h car le site est ouvert jusqu’à 23h l’été et illuminé. Magique.

On terminera notre soirée par une envie irrésistible de glaces italienne. Le meilleur glacier d’Agrigente est sans nul doute la Gelataria Le Cuspidi.

On file ensuite se coucher, demain c’est départ de notre logement pour aller désormais à Trapani.

Un Olivier vieux de 500 à 600 ans

Départ pour Trapani. 2h30 de voiture.

On fait quelques courses de légumes et fruits avant de retrouver Margherita, qui nous loue son petit appartement à Trapani.

L’appartement est bien situé, dans le centre-ville, proche des ferrys pour les îles Egades. Un parking gratuit est situé pas très loin.

L’après midi nous partons visiter Erice, un village perché sur la montagne qui surplombe Trapani. Églises, château et ruelles pavées.

Nous repartons en fin d’après-midi pour voir les salines (marais salants) de Trapani, et y admirer le soleil couchant.

Les enfants sont claqués. Ils se font des pâtes, et nous deux, on sort dans un petit restaurant de fritures de poissons : Maree. . On y goûte le couscous de la mer, des pastas : busiate et des fritures. Délicieux.

On se lève pas trop tard. On prépare notre pique-nique. \240Pus partons de aujourd’hui pour la réserve naturelle de Zingaro à 45 minutes de Trapani.

Sur la route nous passons près de mine d’extraction de granite directement découpé dans le flanc de montagne. Impressionnant.

On se gare à Scopello, entrée Sud. On paye notre billet d’entrée et nous arpentons \240le sentier le long de la côte. Un chemin de près de 7km aller en 2h00 jusqu’à l’entrée nord. Nous nous arrêtons un bon moment pour déjeuner et faire la sieste à Cala della Disa. Puis nous continuons sur le sentier pour aller jusqu’à la grotte et la Cala dell’Uzzo puis nous rebroussons chemin pour tester la Cala Marinella où les enfants peuvent plonger des falaises, puis une dernière cale della Caprieira avant la sortie pour se rafraîchir.

Nous avons eu bien chaud à marcher la journée et encore heureusement qu’il y avait quelques nuages.

Rebelotte en rentrant, les enfants ne veulent pas sortir. On en profite donc pour sortir en couple dans un restaurant en bas de l’appart : Osteria La Bettolacia. Des plats succulents : riz de Vénus, veau à l’orange, calamars,... et on s’est régalé une fois de plus. Avec un vin recommandé par Ianis : Sant’Agostino Sora Boglia de Firriato 2014 (Nero d’Avola & Syrah).

Cala Della Disa

Plan Réserve Naturelle de Zingaro

Plongeon à la Cala Della Marinella

Riz de Vénus (thon et espadon fumé)

Aujourd’hui farniente. Nous sommes bien fatigués de la journée d’hier. Nous décidons de rester dans le coin. Faire le tour du centre ville et admirer le bord de plage.

Les enfants veulent rester à l’appartement. Nous, nous retournons à la plage à côté nous baigner.

On déjeune, puis sieste. Avant de sortir manger une glace et aller acheter nos billets de bateau pour demain. Nous irons à l’île Levanzo (îles Egades).

Plage de nouveau. Spritz en terrasse pour l’apéro et dîner chez Maree pour goûter des plats que nous n’avions pas testés : calamar grillé. \240

Nous voilà partis pour l’île de Levanzo. Nous avons pris le ferry à 8h30. À 9h15, nous débarquons et nous installons sur la plage de galets de Fariglione.

Pour déjeuner, nous retournons au port pour s’installer en terrasse d’un restaurant avec vue sur le port. Pâtes aux moules, pâtes aux calamars, ... un délice. Il n’y a vraiment pas grand monde. Alors que dans les commentaires internet, il faut souvent 1h d’attente pour avoir une table.

On s’en va ensuite rejoindre la Cala Minolla. On reste faire une sieste dans les pinèdes à l’ombre avant d’aller se baigner. L’eau est transparente. Lucas passe son temps dans l’eau avec le masque de plongée.

17h, la journée est passée assez vite, on n’avait pas envie de repartir. On rejoint le port pour reprendre le ferry retour de 17h30.

De retour à l’appart, bien vannés !

On se douche, puis on sort avec Mélanie dans le centre de Trapani se manger une petite glace et parcourir le remblai au soleil couchant. un petit verre de vin dans la rue centrale, la température est bien agréable à cette heure ci.

En rentrant on prépare nos affaires car demain départ pour Cefalù.

Départ de Trapani, on se dirige vers Palerme. 1h30 de route.

On se gare pour aller à pied jusqu’à la Cathedrale. On flâne pour parcourir quelques sans trop savoir où aller.

De belles architectures, il faut lever la tête. On fait la Via Maqueda en long en large pour trouver un lieu où déjeuner. On reviendra finalement sur nos pas pour faire le Maqueda Bistrot. Très sympa, fréquenté par des siciliens. Le Spritz à 3 €, de délicieuses pâtes (carbonara, bolognese), moules. On s’est régalé et bien rempli la panse pour 41€ au total 😲

On reprend la route pour filer à notre prochaine étape Cefalù.

On galère un bon moment pour trouver un parking pour la voiture. On cédera finalement à se garer un peu loin et payer le parcmètre 6€ pour 24h. C’est le plus rentable.

On part ensuite se baigner sur la plage de la ville. La bande de sables n’est pas tres profonde mais on arrive à se trouver une place. Contents de se baigner après la route. C’est très joli cette vue sur la ville et la jetée.

Le soir, après un bon repas, on part se boire un Spritz sur la belle place du Duomo.

Ce matin, montée de la Rocca, l’immense rocher sur laquelle la ville s’est installée.

Ça grimpe dur mais quelle vue ! 30 minutes de montée, et le soleil cogne déjà bien à 9h30. Nous restons à admirer la vue tout autour, avec les îles éoliennes au loin.

Puis plage pour se rafraîchir à la redescendre.

On rentre à l’appartement avec une envie irresistible de pâtes à la Carbonara (comme celles de Maqueda Bistrot à Palerme).

Après une bonne sieste, nous partons pour la montagne vers Castelbuono. Les forêts Piano di Pomo sont magnifiques, denses et fraîches. Les températures sont 8 degrés de moins qu’à Cefalù. Mais un peu galère pour trouver la bonne route, ça monte dur et les routes sont défoncées (en tout cas celles que propose Waze). On a pas pris le bonne itinéraire de randonnée c’est pas forcément bien indiqué. L’idéal est de se rendre au refuge de Piano Siempra. Mais bon trop tard pour cette fois, dommage.

Nous reprenons la voiture pour descendre à Castelbuono. Un très joli village.

Puis on rentre sur Cefalù. On flâne dans la ville avec Mélanie et on se pose près de la jetée pour y boire une bière.

Puis on rentre se coucher. Demain départ pour Riposto, près de Taormina, où se trouve notre logement.

On s’est régalé. 😋 trop bon

Château de Castelbuono

Castelbuono

Castelbuono

Madone sur la jetée de Cefalù

C’est mon anniversaire aujourd’hui. 😎

Départ pour Riposto.

On s’arrête en chemin sur la plage de Mongiove, face aux îles Éoliennes. On pique-nique, puis on continue la route.

Biens arrivés au logement. Un peu déçu par rapport à ce qu’on nous avait vendu. Pleins de petit détails mal fichus, tant pis.

On file sur Taormina à 25 minutes. Un parking gratuit en contrebas. Il faut ensuite monter les escaliers jusqu’à la vieille ville. On passe par le jardin magnifique de la Villa Communale. Une vue magnifique sur les plages alentours.

On parcours le centre qui s’anime peu à peu avec de nombreux touristes. Tout comme Cefalù, nous sentons que tourisme y est bien plus fort même si la Covid a considérablement diminué le nombre de visiteurs. Ça se voit aux terrasses de restaurants.

On se prend un petit cocktail bien sympa à Daiquiri Lounge, un lieu branché avec DJ. Délicieux Planters punch et Montego Bay.

Puis Pizzeria réputée à Taormina : Villa Zuccaro. On fini la soirée par une bonne glace.

On rentre se coucher. La journée a été bien remplie. On verra la météo demain si on fait l’Etna.

Aujourd’hui c’est balade dans les alentours de l’Etna.

En effet, le volcan est encore en activité avec son cratère principale et ses cratères secondaires mais de plus anciens cratères aux alentours plus bas sont présents et endormis.

Nous partons donc pour les monts Sartorius pour un chemin de randonnée trouvé sur internet.

Anecdote : sur le chemin, ça monte dur. Dans une montée, nous voyons un animal blanc assez imposant \240qui nous semble mort bien au milieu de notre voie. On le dépasse et on découvre que c’est un chien. On s’arrete juste après en mettant les warnings. On descend de voiture pour voir s’il est mort ou blessé. Le chien relève la tête en nous regardant. On pense alors qu’il a été percuté et qu’il est blessé. On lui parle, il se relève comme si de rien était. C’est une femelle. Elle s’approche de Mélanie, elle cherche les caresses. Elle a vraiment l’air très gentille. On finira par lui donner un de nos sandwichs pour l’éloigner de la route. Elle dormait donc à l’ombre sur le bitume de la route. Mais un conducteur inattentionné l’aurait sans aucun doute percuté.

Nous arrivons au départ de la balade. Le paysage est magnifique : une petite forêt de bouleaux qui pousse sur cette roche lunaire le basalte issu du volcan. Et une bonne couche de poussières, cendres noires.

Nous montons sur le sommet des cratères pour admirer le paysage.

En repartant de notre randonnée., nous nous arrêtons dans une auberge : Villa Neve. Nous y sommes seuls (en même temps il est presque 15h) et une bonne grand mère sicilienne nous sert. On est bien au frais.

On repart ensuite pour Taormina pour profiter de la plage d’Isola Bella.

Puis retour à la maison.

On part à 8h30 pour monter l’Etna. Matisse n’est pas motivé du tout donc nous partons à 3.

On se gare sur le parking (3,50€ la demi journée) on prend un téléphérique (30€/personne) pour grimper à 2500 m. Certains empruntent un car 4x4 pour aller jusqu’à 2900 m. Nous nous partons à pied sur un chemin le long de la voie. Au 2/3 du chemin nous voyons des personnes suivre une ligne du cratère Barbagallo pour monter. La pente à l’air raide. On y va quand même. A mi chemin on regrette c’est vraiment dur, nos pieds s’enfoncent dans les cendres comme dans du sable. Et il y a un mélange de pierres volcaniques. On arrive au sommet mais on en a vraiment bavé. La- haut il fait bien froid avec le vent, on enfile nos anoraks. On pique nique au sommet de ce cratère. Puis on part emprunter un sentier qui normalement n’est autorisé qu’accompagné d’un guide. On suit en fait un groupe de personnes qui nous précèdent. On traverse le champ de lave de l’éruption de 2013. Nous entendons régulièrement les grondements du volcan 🌋 \240qui crache sans cesse son panache de fumées Les guides font monter les gens à la Bocca Nueva. Nous serons arrêtés au pied par les guides qui nous indiquent que c’est trop tard pour monter et interdit sans guides. On rebrousse alors chemin.

On redescendra pas le chemin que nous avions monté.

On retourne à la maison pour y passer la fin d’après midi.